L’hypnose aime la métaphore, s’aventurant ainsi dans le domaine d'une poésie pure.
C’est peut-être aussi de là que naît son pouvoir de transformation, d’alchimie.
Les métaphores font advenir sans jamais nommer la chose, et la souffrance ainsi dépouillée de son nom même, n'est plus qu'un vêtement trop léger dont nous finissons par nous dévêtir doucement.
L’hypnose rend les frontières entre réel et imaginaire poreuses, alors, ce que nous n’osions imaginer, ce que notre raison nous défendait de croire, ce dont nous ne nous pensions capables, soudain advient.
Nous entrons dans un monde où tout est possible, nous accédons à une liberté à laquelle seuls nous autorisaient nos songes, les changements que nous n’aurions jamais cru possibles se présentent sans effort, et sans que nous n’en soyons conscients même.
Orphée charmait les animaux sauvages de la forêt avec ses chants, la poésie des vers orphique savait transformer toutes les bestialités, celles qui nous éloignent de notre humanité, de ce que nous sommes profondément, dans toute notre beauté. La poésie et l'hypnose nous révèlent qui nous sommes vraiment, des individus plus libres et plus merveilleux et sublimes que jamais nous ne l’aurions rêvé.
Coucou Laure, Monique vient de me parler de ton site sur lequel je me trouve. Toutes mes félicitations pour cette création de très belle qualité. Et bravo pour tes initiatives ! Sais-tu que nous partageons quelques activités ? Séances de méditation et accompagnement de groupes de réflexion spirituelle. En tout cas, je vais suivre ton actu et te ferai signe à la rentrée. Belles vacances au Bodensee en particulier. Je t'embrasse. Charlotte